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Mot-clé - Jay Reatard

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samedi 4 juillet 2009 13:04

Episode 06

Les aventures musicalo-buziennes continuent...

06.jpg :bz5) Rolling Stones - Exile on main street - 1972
Remontée personnelle presque chronologique... Double mythique que ce Exile On Main St., l'ambiance y est plus blues / boogie que jamais (Shake your hips, Casino boogie, ...), les cuivres sont de sortie. Des trucs magnifiques (Sweet Virginia, Happy) mais un tiers de poil trop long. Enfin, c'est pour faire le difficile.


05.jpg :bz4) Forest Fire - Survival - 2008
En haut du top de certains classements de l'an passé, j'ai jeté quelques oreilles sur cet album sorti de nulle part. Peu convaincu au début (exception faite de ce Fortune Teller), la persévérance paye, le disque dévoile ses mutiples facettes, jamais très joyeuses certes mais vraiment riches. La production, sans fioriture et bien directe donne une belle patine à l'ensemble. Et en plus il est était gratuit.


06.jpg :bz4) New York Dolls - self-titled - 1973
Rattrapage des classiques en retard... et au rayon des disques fondateurs, on peut dire que celui-ci contient tout le punk avec 3 ans d'avance. L'hymne d'ouverture (ici présent) est juste fabuleux, la suite tiens toujours la barre 36 ans plus tard, même en acoustique (Lonely planet boy). Le Clash des débuts aurait-il écouté la bande à Thunders / Johansen ? Je dirais oui !



06.jpg :bz35) Ethiopiques 13 - Ethiopian groove
Volume qui porte bien son nom et contient, comme d'hab son lot de perles (ouaip, j'ai un peu tendance à en faire un max sur cette collection). En prime ici - c'est pas courant - quelques voix féminines pour varier les plaisirs...




06.jpg :bz25) Jay Reatard - Matador Singles' 08 - 2008
Un pochette bien drôle et un contenu qui se prends pas trop au sérieux : Reatard fait dans l'expéditif à forte influence Supergrass (Painted shut), Frank Black (celui qu'on égorge (DOA)) ou Buzzcocks, en version lo-fi garage. Grattes acoustiques maltraitées et synthés cheap parfois trop présents, c'est direct, sans prétention, assez déconnant et vite oublié aussi. Sympathique quand même.


05.jpg :bz15) The Bridge: a tribute to Neil Young - 1989
Ah, y'a 15 ans, le fan un brin compulsif que j'étais cherchais à reconstituer l'intégrale des Pixies (aujourd'hui, la compilation Complete B-Sides suffit !), et donc ce tribute au grand Neil... L'album tribute, c'est rarement réussi et reprendre Young n'est pas la chose aisée, 2 facteurs conjugués qui rendent le tout bien dispensable. S'en sortent Pixies (quand même), Nick Cave, Sonic Youth (avec une bonne relecture de Computer Age), Nikki Suden ou Dinosaur Jr (maltraitant joyeusement Lotta Love), mais sinon, c'est long.

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