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Mot-clé - Pauline Croze

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jeudi 8 avril 2010 00:03

Mes années 0...

Un peu évasif sur le contenu musical de cette décennie, j'ai tripatouillé dans mes étagères pour en gratter la substantifique moelle, enfin celle qui a compté à mes oreilles...

Du son donc et des pochettes, pas plus :

mes00__s.jpg

  • Fugazi - The Argument (2001)
  • At the Drive-In - Relationship of Command (2000)
  • Shannon Wright - Over the sun (2004)
  • Queens of the Stone Age - moi, pas trancher... d'où un superbe photo montage de Rated R (2000) & Song for the Deaf (2002)
  • Pauline Croze - sans titre (2005)
  • The National - Sad songs for dirty lovers (2003)
  • PJ Harvey - Stories From The City, Stories From The Sea (2000)
  • Papas Fritas - Building Grounds (2000)
  • I Am Kloot - Natural History (2001)
  • Alela Diane - The Pirate's Gospel (2004)
  • Godspeed You Black Emperor! - Lift Your Skinny Fists Like Antennas to Heaven (2000)
  • Bar Kokhba Sextet - Lucifer: Book of Angels, Volume 10 (2008)
  • M Ward - Transfiguration of Vincent (2003)
  • Alain Bashung - L'imprudence (2002)
  • Elliott Smith - Figure 8 (2000)
  • Radiohead - Kid A (2000)


Et pas très loin, Come to Where I'm From de Joseph Arthur, Your Favorite Music de Clem Snide, Bubblegum du Lanegan, ...

ps: reste maintenant à savoir ce que j'ai fait après 2005...

mardi 11 mars 2008 00:06

K + Pauline Croze - le Transbordeur (Villeurbanne), le 06 mars 2008

Back in the Transbo, çà fait une éternité... faut dire que c'est trop grand ;o) et surtout que la programmation est sans cohérence: en gros, du moyennement gros ! Ce soir et avant The Gossip, Thomas Dutronc ou encore les infâmes Fatals Picards, on fait dans le francophone avec Pauline Croze qui fait tourner son deuxième album.

La première partie est suisse : il s'appelle K et tient la scène avec sa seule guitare acoustique (même pas de pédale d'effet). Courageux donc, nombreuses interactions (réussies) avec le public mais je passe complètement à côté...

paulineCroze.jpg
On passe donc à la tête d'affiche : j'avais bien accroché à ce premier album sans nom, sans fautes et vraiment original. Pauline Croze y montrait une identité déjà bien affirmée et dégageait un max d'air frais avec des compos plutôt acoustiques serties de sa voix voilée et chaude à la fois.

Le nouveau, je connais pas mais le quelque article lu ici dit qu'il n'a rien à voir avec le précédent et que ses ventes peinent à décoller (4 titres en écoute (!)). Intriguant !

Un power trio lance la sauce, rapidement rejoint par Pauline qui, sur cette entame, se "contente" de chanter et danser. C'est rock et brouillon mais heureusement, ces problèmes de réglages seront vite corrigés et Jour de foule groove bien bien bien.

Chaussant tantôt télécaster, tantôt Gibson SG, la chanteuse est indiscutablement à l'aise sur scène, naturelle et sans attitude. Peu de discours mais contente d'être là (elle partagera de nombreux sourires avec ses musiciens).

Le public (nombreux fans) se voit servir la plupart des titres d'Un bruit qui court (superbe version du Baiser d'adieu). La bUze regrette seulement de ne pas avoir apprivoisé le disque avant, histoire d'apprécier encore plus les chansons victimes d'embardées dans la musique africaine (afro-beat ?), le jazz-rock, ...

On est loin du T'es beau qui a fait le succès de la demoiselle. Ce titre ouvrira d'ailleurs le premier rappel 100% acoustique, comme un flash-back sur une période bien lointaine.

On retrouve l'électricité pour clôturer ce concert en beauté. Reste maintenant à chopper cet l'album !

↑ GO ↑