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Mot-clé - Rolling Stones

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lundi 13 mai 2013 19:38

Recette: Les saucisses-purée

Une petite recette, pour changer...

  • Pour commencer, trouvez un boucher qui ait des saucisses fraîches.
  • Faites frire des oignons avec du bacon, salez et poivrez.
  • Mettez les patates à bouillir avec un trait de vinaigre dans l'eau, de l'oignon haché et du sel à convenance. Rajoutez des petits pois, et aussi des carottes coupées, si çà vous dit.
  • Passons maintenant aux choses sérieuses: vous avez le choix entre griller vos saucisses, les frire ou les saisir au four. Si vous optez pour la friture, rajoutez-les aux oignons et au bacon, à petit feu, ou mettez-les dans un poêle non chauffée, comme dit la dame de la télé, mélangez les oignons et le bacon après un moment et laissez-les cuire peinards, en les tournant toutes les 5 minutes.
  • Ecrasez les patates et tout ce que vous y avez ajouté.
  • A ce stade, les saucisses ont perdu - autant que possible ! - leur graisse.
  • Récupérez le gras et faites-en une sauce, si désiré.
  • Sauce HP obligatoire, en quantité à définir par chacun.

Le tout est tiré de Life, l'autobiographie de Keith Richards !!!

Un prétexte pour parler de ce bouquin où Richards revient sur son enfance, la création des Stones, le succès, la dope et les méga-tournées.

Sans tourner autour du pot, style assez débonnaire qui le caractérise bien (enfin, on imagine) et pas de langue de bois: Brian Jones et surtout Jagger ramassent pas mal (si Charlie Watts est peu évoqué, son guitariste lui témoigne un mélange de respect et d'admiration sans faille).

saucisses_puree_recette.jpg
Il parle évidemment musique, avec beaucoup de ferveur et une certaine humilité (celle du fan qui a joué avec la plupart de ses idoles et n'en revient toujours pas), raconte encore le processus de création des Stones, sa découverte de l'open-tuning, l'écriture de certains tubes ou l'enregistrement du master piece Exile on Main St.

La fin s'éparpille peut-être un peu trop (avec humour) en anecdotes & name-dropping VIP mais on prends beaucoup de plaisir à dévorer ces 700 pages d'histoire du rock à la sauce Keith.

samedi 4 juillet 2009 13:04

Episode 06

Les aventures musicalo-buziennes continuent...

06.jpg :bz5) Rolling Stones - Exile on main street - 1972
Remontée personnelle presque chronologique... Double mythique que ce Exile On Main St., l'ambiance y est plus blues / boogie que jamais (Shake your hips, Casino boogie, ...), les cuivres sont de sortie. Des trucs magnifiques (Sweet Virginia, Happy) mais un tiers de poil trop long. Enfin, c'est pour faire le difficile.


05.jpg :bz4) Forest Fire - Survival - 2008
En haut du top de certains classements de l'an passé, j'ai jeté quelques oreilles sur cet album sorti de nulle part. Peu convaincu au début (exception faite de ce Fortune Teller), la persévérance paye, le disque dévoile ses mutiples facettes, jamais très joyeuses certes mais vraiment riches. La production, sans fioriture et bien directe donne une belle patine à l'ensemble. Et en plus il est était gratuit.


06.jpg :bz4) New York Dolls - self-titled - 1973
Rattrapage des classiques en retard... et au rayon des disques fondateurs, on peut dire que celui-ci contient tout le punk avec 3 ans d'avance. L'hymne d'ouverture (ici présent) est juste fabuleux, la suite tiens toujours la barre 36 ans plus tard, même en acoustique (Lonely planet boy). Le Clash des débuts aurait-il écouté la bande à Thunders / Johansen ? Je dirais oui !



06.jpg :bz35) Ethiopiques 13 - Ethiopian groove
Volume qui porte bien son nom et contient, comme d'hab son lot de perles (ouaip, j'ai un peu tendance à en faire un max sur cette collection). En prime ici - c'est pas courant - quelques voix féminines pour varier les plaisirs...




06.jpg :bz25) Jay Reatard - Matador Singles' 08 - 2008
Un pochette bien drôle et un contenu qui se prends pas trop au sérieux : Reatard fait dans l'expéditif à forte influence Supergrass (Painted shut), Frank Black (celui qu'on égorge (DOA)) ou Buzzcocks, en version lo-fi garage. Grattes acoustiques maltraitées et synthés cheap parfois trop présents, c'est direct, sans prétention, assez déconnant et vite oublié aussi. Sympathique quand même.


05.jpg :bz15) The Bridge: a tribute to Neil Young - 1989
Ah, y'a 15 ans, le fan un brin compulsif que j'étais cherchais à reconstituer l'intégrale des Pixies (aujourd'hui, la compilation Complete B-Sides suffit !), et donc ce tribute au grand Neil... L'album tribute, c'est rarement réussi et reprendre Young n'est pas la chose aisée, 2 facteurs conjugués qui rendent le tout bien dispensable. S'en sortent Pixies (quand même), Nick Cave, Sonic Youth (avec une bonne relecture de Computer Age), Nikki Suden ou Dinosaur Jr (maltraitant joyeusement Lotta Love), mais sinon, c'est long.

dimanche 5 août 2007 20:27

Rolling Stones - Love in Vain

Aujourd'hui, un petit groupe pas trop connu (mais ils vont percer, c'est sûr): les Rolling Stones.

rollingstones-letitbleed.jpg Cours de guitare oblige, je me plonge enfin (et si possible chronologiquement) dans la discographie du groupe, étant, dans le traditionnel débat, plutôt Beatles (pour les mélodies sûrement).

Il y'a de quoi remplir quelques Best Of avec ces débuts: çà grandit doucement jusqu'à l'excellent 'Beggars Banquest'. Le 'Let It Bleed' (1969) actuellement en écoute sur la platine bUzienne est peut-être encore meilleur, rock'n'roll et malsain, l'esprit Stones, quoi.

Il parait que tout ou presque s'arrêtera avec 'Exile on Main Street' 3 ans plus tard.

Un titre donc: 'Love In Vain  goto radio La bUze  

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