Aller à la recherche

Mot-clé - Royal Blood

Fil des billets Fil des commentaires

jeudi 2 avril 2015 23:58

Royal Blood - Le Transbordeur (Villeurbanne), le 28 Mars 2015

Un soir dans la grande salle du Transbo, complet qui plus est... Ca faisait bien longtemps !

Faut dire que Royal Blood a bien fait le buzz depuis qu'on les a raté à Rock En Seine et leur album est plutôt bon, avec au moins 4/5 titres imparables.

Avant, on se tape Bad Breeding: formule très classique pour un barouf assez chiant, entre un chanteur qui martyrise son pied de micro et un raffut à peine orchestré derrière. Tempos rapides et mélodies inexistantes, c'est vraiment pas terrible...

La salle doit être d'un avis similaire puisque les anglais sont à peine applaudis en fin de brouhaha. On patiente alors longuement avant le duo de star du soir.

royal_blood_live_Lyon_2015.jpg [1]
Attaque au canon, avec frappe et son bien lourds, y'a pas de doute c'est une belle section rythmique et le groupe joue plutôt très efficacement les titres de ce premier disque (plus quelques inédits), parlant un peu du côté du bassiste, se la racontant pas mal pour le batteur (qui viendra souvent en bord de scène fixer la foule ou se préparant un cocktail à mettre dans un repose gobelet en bord de caisse claire).

C'est pour faire le show peut-être et remplir un peu l'immense espace à partager. C'est un peu too much aussi, et on sait pas trop quoi penser quand 3 nanas en culotte/sous-tif se pointent sur scène sur Loose Change pour quelques déhanchements pas vraiment travaillés (on a bien observé, si si).

1h de set et pas de rappel, honnête ou presque...

Note

[1] photo: Luciole photography

mardi 14 octobre 2014 19:51

Royal Blood - Come on over

Ma galette du moment est celle des anglais de Royal Blood qu'on a somptueusement raté à Rock en Seine :( .

Duo basse/chant batterie (beaucoup d'effets sur la basse, faut dire, des fois on se demande presque s'il n'y a pas 2 cordes de plus), les 10 titres de leur premier album (sans titre) s'ingurgitent sans problème et on y revient sans écoeurement aucun.

La preuve avec ce Come on over:

↑ GO ↑