La bUze

Bon, c'est presque fin juillet et La bUze n'a pas foulé le moindre caillou des théâtres antiques du coin... Il est temps d'y remédier avec cette affiche intéressante (et complète) des Nuits de Fourvière (ah si Léonard Cohen... blah blah blah). Fink d'abord, DJ anglais reconverti à la gratte acoustique pour son 2ème album. Arrivé seul sur scène pour une chanson qui plante le décor, il sera progressivement rejoint par un bassiste puis un batteur. C'est posé et prenant, suffisamment tendu pour capter l'attention du public malgré la chaleur et la nuit pas encore là. La voix du bonhomme fait son petit effet, son jeu de guitare aussi, le tout assoit une personnalité bien affirmée. Un petit clin...

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Dans ce merveilleux monde numérique, tout ce que tu fais (ou presque, on est pas en Chine), oh lecteur(rice), est pisté. Aussi, grâce à un petit bout de code que tu ne vois pas, je dispose de quelques infos consultées compulsivement lors des débuts de ce blog, moins régulièrement depuis quelques mois. Parmi ces infos, le trafic généré (qui oblige de suite à une certaine modestie), l'emplacement géographique de l'internaute, son navigateur... rien de bien intéressant quoi, à part la façon dont il tombe ici. Là, magie des moteurs de recherche et de leur intelligence à peine balbutiante, on arrive à quelques trucs bien drôles. Voici les meilleurs, ami(e) lecteur(rice) : - "du cul" :...

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Petite semaine de vacances qui commence, et avant de partir, voici une petite ballade en Espagne. Pas celle des tortillas, de la cerveza ou championne du monde mais plutôt celle de Josh Haden. Le dernier album date déjà de 2001 mais, oh joie, 3 nouveaux titres viennent d'être posés sur leur mycake. Ce I'm still free ne casse rien dans l'auberge espagnole (désolé) mais c'est pas ce qu'on lui demande :   De quoi espérer un nouvel album ?...

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Reprise en douceur avec ce titre (et tube) de David Bowie par M. Ward:   Ce trentenaire américain a déjà commis 5 albums qui remuent le sillon d'un folk d'un autre âge. Comme Alela Diane et son fabuleux 'Pirate Gospel', le gars s'est ré-approprié ce pan de la musique américaine, l'a digéré pour en livrer une réinterprétation poignante. Si 'Duet for Guitars #2' en est l'ébauche et reste anecdotique, 'Transfiguration of Vincent' (dont est extrait ce titre) en est le sommet suivi de près par 'Transistor Radio'. Le dernier ('Post War') sent un peu l'auto-parodie, jusque dans les couleurs de la pochette, et c'est bien dommage. Pas écouté 'End of amnesia' mais je vais y remédier (enfin si j'oublie...

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