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mars 2012

lundi 12 mars 2012 19:05

Episode 21 : les supergroupes...

Ah, que faire quand on s'est fait un petit nom sur le marché du disque, qu'on a donc élargit grandement son cercle d'amis parmi ses semblables ? Un supergroupe, tiens ! Parce qu'il saurait dommage de ne pas graver ces fabuleuses rencontres à la postérité... Alors que l'abstinence aurait quand même du bon, parfois... Monsters of Folk - sans titre - 2009 Monsters of folk , rien que çà... avec M. Ward et des membres de Bright Eyes ou My Morning Jacket qui concoctent ici 15 titres plutôt bien tournés, entre pop guillerette (Whole Lotta Losin) et embardées plus countrysantes (The Right Place, Man Named Truth). On reconnait évidemment la pate Ward (Baby Boomer & Slow Down Jo), on connait...

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mercredi 14 mars 2012 23:08

Olivier Depardon - Le vent si fort

Virago, groupe flamboyant de la fin des 90's avait laissé 1 Ep et 2 albums certes mais un peu de vide aussi au rayon noise de part chez nous... On n'avait pas pris de renseignement sur Zygoma, le projet d'après de son leader, on est aujourd'hui ravi d'avoir des nouvelles via un premier disque solo : Un soleil dans la pluie qui sort (encore) chez les résistants de chez Vicious Circle. On y retrouve, dans une formule plus calme (apaisée ?), tout ce qui rendait la musique des grenoblois si attachante : un sens de la mélodie imparable, des guitares qui grondent (un peu plus bas ici donc) et la diction d'Olivier Depardon, si particulière. Un petit titre de mise en bouche :...

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dimanche 18 mars 2012 21:36

...

Moebius est parti et j'ai comme une envie de relire le Monde d'Edena......

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jeudi 22 mars 2012 21:55

Fargo rock city: confessions d'un fan de heavy metal en zone rurale

Un titre trompeur (point de ruralité ici) pour un livre sur l'épopée du glam métal / hair métal / hard-rock des 80's jusque dans ses travers les plus ridicules. Tout part de la découverte de Mötley Crüe par un pré-ado d'un trou paumé du Minnesota pour se ballader dans la décennie (Kiss, Poison, Whitesnake, Def Leppard, ...) et finir au top (dans l'opinion de l'auteur) avec les Guns'n'Roses[1] avant la mise à mort publique du tout par un certain K. Cobain. Avec ironie et humour, Klosterman parle de son addiction au genre, un plaisir presque honteux mais assumé et c'est là la réussite du bouquin : la retranscription de cet enthousiasme. Après, pour un total non fan du genre, la lecture est...

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