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A l'heure (au jour plutôt) de la sortie de The limits of control, petit clin d'oeil dans le rétro (10 ans déjà) avec Ghost Dog Du grand Jim Jarmush, un Forest Whitaker placide & félin et cette putain de B.O. signée RZA ! |
A l'heure (au jour plutôt) de la sortie de The limits of control, petit clin d'oeil dans le rétro (10 ans déjà) avec Ghost Dog Du grand Jim Jarmush, un Forest Whitaker placide & félin et cette putain de B.O. signée RZA ! |
Commentaires
Chez Next, on ADORE "Ghost Dog" et on aime Jarmush depuis "Stranger Than Paradise" et surtout "Down By Law" ! Je vais voir "The Limits Of Control" à la 1re séance de 14h !
mon préféré reste 'Dead Man' chez Jim
alors, ce Limits of Control ? les avis sont partagés...
Je te fais un copier-coller du commentaire que j'ai laissé chez G.T. :
"The Limits Of Control" m'a beaucoup déçu... par rapport notamment à la bande annonce très prometteuse que j'avais vue quelques jours auparavant. La citation de Rimbaud en exergue et la magnifique photographie de Christopher Boyle (on lui devait déjà celle de "In The Mood For Love") ne suffisent pas à faire du film une oeuvre poétique ! C'est au contraire un pur exercice de style très abstrait qui finit par tourner à vide... (1h 56' quand même !) Et puis Jarmush a fait tellement mieux avec "Strangers Than Paradise / Dead Man / Ghost Dog" dans la même veine... Si tu vas le voir, fais comme le personnage principal : bois deux expresso bien serrés avant pour rester éveillé
Je rajouterais ceci :
Du coup j'hésite à en parler sur le blog. Il y a de bonnes idées malgré tout dans ce film, quelques belles scènes (notamment celle avec Tilda Swinton) et toujours plein de citations/allusions pour les cinéphiles. Mais hélas, bien trop long, trop lent et trop répétitif !
Un indice qui ne trompe que rarement : les Inrockuptibles titrent leur une cette semaine avec: "Jim Jarmush, un cinéaste sans concession". Généralement, de leur part, ça signifie ennui infini, conformisme hardcore et donc aucun risque de subversion.
Dans les années 80s, j'étais fan de Jarmush, surtout "Down By Law" que j'ai du voir une demi-douzaine de fois.
Mais j'ai l'impression que ces dernières années, il a rejoint l'école "lellouchienne" et prétentieuse du cinéma américain (Sofia Coppola ...).
mouaip, c'est mitigé... je me tâte encore... après La Route, peut être donc !
Au-delà de la sensible originalité de votre blog, je remarque que ce billet est une réelle trouvaille.
Bonne continuation et continuez ainsi !