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Boss Hog - Epicerie Moderne (Feyzin), le 06 Novembre 2017

Dans la famille Spencer, on voudrait... Bud ? Non, il n'est plus là... Desirae ? non plus, c'est pas le même contexte... Jon alors ? Ok et madame ? Cristina, qui s'appelle pas Spencer d'ailleurs mais Martinez et dont l'oncle Philippe ne sera point là ce soir... Comme beaucoup d'ailleurs, l'Epicerie est assez dégarnie en ce lundi, à croire que le rock'n'roll ne fait plus déplacer les foules !

Rien de neuf, on est à la bourre et Enlarge your monster a déjà commencé: rock bien poisseux avec un section rythmique au fond du temps. Gros son, çà matraque sévère et les compos tiennent la route, dommage que la voix manque de puissance (registre trop grave ?) pour vraiment faire décoller le tout, y'a un beau potentiel !

Place à Boss Hog, réactivé après 17 années d'hibernation (les enfants sont grands peut-être ?). %%

On connaissait ce side-project de Jon Spencer du temps où on avait des cheveux, sans avoir été conquis par les 2 disques écoutés (1995 & 2000). Quelques morceaux accrocheurs mais bien peu nombreux pour y revenir et c'est cette même impression qui revient en début de concert: songwriting hâché, çà groove pas vraiment et si Cristina se démène plutôt bien sur scène, on n'est pas trop dedans. On arrive même à lui chercher une ressemblance avec Nicolas Sirkis, avec tout ce maquillage et cette veste en plumes qui élargit beaucoup ses épaules, on est loin des pochettes plutôt sexy du siècle dernier...

Mais stop à l'ironie, le concert va peu à peu prendre une belle tournure: titres plus enlevés et dansants, Cristina qui vient secouer les gens dans la fosse le sourire aux lèvres, fun, sans prétentino, rock'n'roll quoi ! Du coup on trouve que le rappel arrive très tôt et même s'il est fourni, on aurait bien pris un peu de rab'

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