La bUze

Noms-à-rallonge, épisode 2: The Pains of Being Pure at Heart... Pas forcément ma tasse de thé mais l'occasion de voir si le live passe mieux que les titres écoutés et aussi retrouver quelques comparses blogueurs (Xavier, JP sans Daniel, Damien) voire d'en rencontrer d'ex (Chtif). C'est Flowers qui ouvre, bien identifé dans la droite ligne indie d'il y a 20 ans (Jesus & Mary Chain, au hasard (et pas vraiment sûr qu'ils soient nés à l'âge d'or des écossais)): 3 post ados habillés vraiment comme des sacs qu'on imagine en grands rejetés du collège et décidant de monter un groupe. Le trio anglais propose de jolies et courtes mélodies sur fond de guitare un brin saturée, c'est sympathique mais...

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Ultime nom-à-rallonge (dur de faire plus long), la faute/grâce à un petit déplacement professionnel et malgré un concert la veille, un TGV aux aurores, je file rue Oberkampf découvrir le Nouveau Casino et les concerts parisiens. J'ai déjà moqué les concerts goûter du Transbo le dimanche, le 19h30 du billet du soir m'inquiète quelque peu... et lorsque j'entre à 20h40, la première partie est déjà pliée, les texans finalisant leur soundcheck. La salle est petite, remplie correctement et çà part peu de temps après, avec un son trop chargé en basse, ce qui gâche pas mal le premier tiers du set. Sinon, 2 grattes et une alternance presque systématique aux postes batteur & guitariste. Du coup...

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Festival Just Rock Edition 6 et petite soirée soul, çà faisait longtemps ! Avec Lee Fields, qui plus est, dont on a particulièrement gouté les 2 dernières livraisons, dans un Transclub à l'affluence correcte. Mr Day s'occupe de l'ouverture et nous sert sa soul/pop vintage plutôt bien foutue, très groove dans sa première partie avant de virer pop psyché 60's. Une majorité de compositions (on imagine), accrocheuses (cf le Caveman en écoute ci-contre), une voix qui le fait et 4 musiciens (basse/batterie/guitare/orgue) qui assurent derrière: c'est carré, varié et fourni, les efforts payent et l'ambiance au top au moment de passer au plat de résistance. Comme souvent dans le domaine, c'est les...

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Nouvelle affiche bien cohérente ce soir à Feyzin: uKanDanZ, formation éthio-jazz d'ici et The Ex, qui ont plus que démontré leur intérêt pour la musique d'Abyssinie. Un billet dédié aux lyonnais pour commencer, dans la même configuration qu'il y a 2 ans ici-même. Cà c'est pour l'apparence, pour ce qui est de la musique, c'est beaucoup plus enlevé et puissant que dans mes souvenirs (cf titre ci-contre). Départ au taquet et pas de temps mort tout le long d'un set fourni qui va dérouler Yetchalal, 1er album en sortie chez Buda Musique (s'il vous plait) et en écoute là (les premières tours de platine sont d'ailleurs prometteurs). Cà joue fort, presque rock, et avec une grosse envie, mêlant...

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Double Order by The Ex on Grooveshark ...poursuite... avec une petite chro-carte-postale pour donner quelques nouvelles des hollandais qu'on n'avait point vu cette année, çà manquait presque ;) ! Avant de fêter leur tiers de siècle (aïe) en décembre et après la sortie d'une seconde collaboration avec le saxophoniste éthiopien Getatchew Mekuria, ils sont donc en mini-tournée pour rôder à la scène des compos (certaines déjà bien prometteuses, d'autres qui manquent encore d'ampleur live) à paraitre sur un prochain album. Le groupe creuse toujours son propre sillon ethno-punk: gimmick répétitif joué par Arnold de Boer posé sur les rythmiques des 2 vétérans Andy Moor & Terrie Hessels. Le jeu...

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Retrouvé ICI. Le reste de la liste des groupes vus est juste impressionnante: les Dü, Sonic Youth, Gun Club, Rem... Pour quelques dizaines de francs... De quoi donner envie d'investir dans une DeLorean....

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"Côtelette d'agneau", pas forcément fan du groupe mais une pulsion d'achat malgré la distance, l'envie de barbecue (ou de découvrir cet endroit). Le lieu est récent (2 ans, après prise d'information) et l'ambiance y est boisée (2 énormes troncs aux extrémités de la scène). Par contre, piège, rien aux alentours pour manger, obligé de se rabattre vers le bar qui propose quelques encas surgelés hors de prix et, sacrilège, de la bière sans alcool uniquement. On s'en satisfera histoire de patienter jusqu'à 20h35 (!), les américains commencent sans retard ni première partie. 6 sur scène, un son parfait, juste comme il faut, permettant de gouter à la délicatesse des orchestrations...

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