Et un concert de presque dernière minute ! Faut dire que çà nous manquerait presque, à tourner à 4 pâtes (euh non 2) dans la campagne.
Envie d'un peu de douceur et la venue de la québécoise Alexandra Stréliski est fort à propos : une parenthèse piano solo, sans première partie et qui commence à l'heure pétante.
Salle est en configuration assise pour cette fois et bien garnie quand on s'y pointe pour un public très attentif et vite conquis - conquis d'avance ou juste bien mis à l'aise aussi par le nature de la pianiste dans ces paroles échangées ?
Côté musique, elle nous propose donc des pièces assez courtes , qui embarquent l'imaginaire très rapidement, variées et dont on pourrait presque extraire une ligne de chant.
Ultra efficace donc et délicat, encore plus quand un duo violon/violoncelle vient tromper sur la promesse initiale.
Mais c'en est que tant mieux et on tâchera donc de se procurer ce nouvel album (le 3ème) pour continuer la rêverie !
Ultimes bafouilles...